Je viens tout juste d'en terminer la lecture. La couverture et le petit résumé donnaient très envie. Et maintenant je ne sais pas trop. Alors c'est très rare pour moi de ne pas aimer une BD, mais là c'est peut-être le cas. D'un autre côté je n'en suis pas bien sûr et cette introduction n'a ni sens ni intérêt, alors je vais reprendre doucement et vous raconter l'histoire du bizarre Joe Egan.
Scénario : Marc Behm, Jean-hugues Oppel
Dessins : Joe g. Pinelli
Editeur : Casterman
Mais d'un autre côté, on ne sait pas grand chose de lui. Son père enseigne la musicologie à l'université alors que je métier de sa mère est de changer de voiture. Présenté comme ça, c'est sûr que ça n'intrigue personne. Mais surtout, Joe Egan a l'air de fuir quelque chose depuis tout petit. Il a l'air de fuir la mort, ou de la provoquer. En tout cas, il la voit sous la forme d'une femme blonde. Dès le début, plusieurs personnes meurent autour de lui et à chaque fois, cette représentation de la mort lui apparaît. Il en déduit que c'est peut-être sa faute, qu'il provoque peut-être la mort, ou alors qu'il sera vite le prochain. Il doit partir, la fuir et vite.
De là, il va se lancer de boulot en boulot partout dans le pays tout en se faisant pas mal de pognon en jouant au poker. L'essentiel d'un homme se résume à peu de choses. Sa bagnole, son rasoir, quelques pièces et c'est tout. Il sillonne les villes, enchaînant les boulots, les parties de poker, les hauts et les bas. Et puis finalement, il arrivera à se jouer de la mort, ou au moins le pensera. Mais c'est là que je comprend pas vraiment l'idée de ce bouquin. Alors je le feuillette encore en écrivant tout ça, mais rien. C'est très beau, y'a pas de cases à proprement parler et les pages sont souvent pleines d'images qui fusionnent entre-elles. Rien à faire, je ne sais pas comment prendre cette histoire. Un Road Trip ? Un truc hyper poétique inaccessible à mon esprit ? Une fuite d'une vie passée à éviter la mort ? Je vais devoir le faire lire à quelques personnes que j'ai en tête pour pouvoir en parler et exorciser cette narration bizarre. Je reviendrai, je n'ai pas dit mon dernier mot.
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